MATRA SIMCA 670 B LM 74

Le panache bleu; pour mes amis Daniel Clutch et Thierry Martin..., qui va avoir de la compassion, l'article ne sera pas parce que mes compétences en français est vraiment mauvaise, plus à écrire. Pour ce faire, je vais utiliser les mots, toujours sage, François Hurel, Michel Bollée et José Rosinski. Il était une fois Le Mans, les reines au Mans, Matra Simca MS 670B piloté par Henri Pescarolo y Gérard Larrousse, les gagnants des 24 Heures du Mans en 1974.




La race, la machine... Cette voiture neuve beneficie de tous les demiers developpements et est suivie par Robin, fidele à son ami Pescarolo. Des la premiere séance, Pesca s'octroie la pole position, echouant a trois dixiemes du temps realise par Beltoise en mars. II prend la tete des Ie depart et ravitaille au 13' tour sans perdre le commandement. Apres 2 heures, la #7 possede 16" d'avance sur la 680 B, qui joue it l'accordeon.






Le parcours de Pescarolo/Larrousse est sans histoire. A micourse, ils ont 7 tours d'avance sur la Porsche de Mliller/Van Lennep. Dans la matinee, on procede it un changement de platine d'allumage car Ie moteur ne depasse plus 9500 t/mn. Larrousse relaie Pescarolo mais il devra s'arreter encore trois fois avant que Ie probleme ne soit resolu. Malgre cela, l'ecart avec la Porsche est porte 11 tours lorsqu' it 10 h 47, Pescarolo voit sa 5' sauter dans la ligne droite.




II s'arrete et parvient it enclencher la 3'. Prevenu, Ie stand prepare toutes les pieces. Henri rentre apres une douzaine de minutes. Le manchon baladeur entre 4' et 5' a lache (Je suis désolé pour l'orthographe, ce clavier ne possède pas la moitié des signes, et trois livre avant) mais compte tenu des degats, toute la pignonnerie doit etre changée.




Aide par Ie specialiste de Porsche, "Jeannot" Guiard y parviendra en 46', un exploit pour l'epoque, comme Ie souligne Jacky Petit: "quand "Jeannot" a repare la boite, c'etait comme une operation a I'hopital, les outils "tombaient" tout seuls. Quand on connalt, ça va vite !".






De une heure, l'avance est passee it 3'06" lorsque Pescarolo repart enfin. Mais la Porsche n'ayant plus que ses deux rapports superieurs, la Matra a vite fait de reprendre un tour d'avance. Malgré un nouveau changement de platine, elle va accomplir 338 tours, soit 6 de plus que la Porsche. L'orage menace en fin de course et des gouttes sont signalées á Mulsanne, ce qui incite les deux Matra it chausser les mixtes. C'est it Larrousse que reviendra le bonheur de franchir la ligne d'arrivee, aux cotes de Migault. La voiture victorieuse a consomme 43,22 L d'essence et 0,45 L d'huile aux 100 kmh. Elle est aujourd'hui exposee au Musee du Mans.




Pescarolo: "Matra est la meilleure equipe que j'ai jamais vue, ce sont mes meilleures années. Apres, on a fait mieux, mais surtout dans les á-côtés. C'est surtout Ie confort et Ie luxe qui ant évolué, car la maniere d'aborder la course n'a pas beaucoup change. Chez Matra, on etait deja une centaine de personnes. C'etait la plus grosse organisation qu'on ait vue a cette epoque".




Larrousse: "De Lagardere jusqu'aux mecanos, c'etait une equipe exceptionnelle. Lorsque je suis devenu responsable de Renault Sport, je me suis largement inspire des methodes que Matra avait mises sur pied, notamment les essais de 24 heures au Paul Ricard, qui n'existaient pas avant. Meme chez Porsche, je n'ai pas Ie souvenir d'avoir fait des essais d'endurance et chez Matra, il y avait la culture de la F1 en plus. C'etait une equipe tres pointue et on se sentait plus en securite dans une Matra 670 que dans une Porsche 917. Les coques des Matra etaient tres rigides ... C'est d'ailleurs pour ça qu'on tapait tout Ie monde !"




Comme toutes les reproductions de miniatures Le Mans, la beauté est dans le lointain, avec la proximité gagne beauté, compris certains pneus presque parfait. Manquent seulement les nouvelles disques de freins ventilés Girling (Roue AR: 15" x 17").




bouches d'air chaud, de pneus et roues, mais où est la gitane.,.. où est Gitanes...




Perdu dans le musée?, je vais essayer de résoudre le problème à l'atelier. Profitons du peu, un bien plus tendu.




No cabe duda de que, pese a los olvidos, la calidad es indiscutible en casi cualquier reproducción de Le Mans Miniatures. El detalle del soporte/tope de seguridad del casco es fenómeno.




Y teniendo en cuenta que debía ser o Henri o Gérard el honrado en esta preciosa minuatura, el turno parece ser para el segundo, salvo que eso negro no sea el sotto casco.




Y aprovechando que estamos dentro del habitáculo; por qué no disfrutar un poco de él, de la resina labrada a modo de remachería o del soporte del espejo que parece poder ser regulable en nuestro modelo a escala; qué maravilla.




Desde cualquier ángulo.




Y colofón, la alimentación del Matra Sports, esbelto y perfectamente modelado, tal cual lo hubiera firmado Roland Roy.








Desde luego que las habrá mejores, y peores, el azul Roly 915 (creo que ese es) coincide con las hasta ahora reproducidas por la propia LMM a 1:24 (como era de esperar), Minichamps, Eligor, Starter, Provence Moulage..., a escalas menores. El verde tal vez no esté tan logrado, tal vez muy fosfóreo, pero como diría Luis, voy a 16 colores.




Algunas de las calcas, desde mi punto de vista son mejorables en cuanto a definición (por pedir), eliminando la controversia al respecto de la falta de alguna muy importante (En tiempo, es historia, los vehículos de competición corrían, es decir, existe historia del automovilismo tal cual la conocemos, gracias al dinero de algunas tabaqueras, eliminar dicha publicidad es pretender borrar de un plumazo el pasado de un deporte..., imaginamos que en unos años se descubre que el Red Bull puede matar (consumiendo 20 latas diarias), qué hacemos con la escudería Red Bull..., la denominamos coche azul con punto amarillo..., hay que j...). Tras ellas sus famosísimos radiadores laterales.




Otras son sencillamente fantásticas.




El capó trasero es soberbio, y creo que no es necesario mucho más, sólo lamentar que ninguna marca en plástico, tal vez por la escasez de decoraciones posibles, vaya a comercializar estas maravillas; yo siempre tuve confianza en Joaquín..., algún día, tal vez..., ¿sería rentable?.




Una resina muy pulida y una pintura PUTURRÚ DE FOI son el remate perfecto para la reproducción de otra de esas maravillas que venció en Le Mans, no en el '72, no en el '73..., y sí en el '74. Blanco blanco, inmaculado "concepción".




Y uno de los puntos más complicados, donde lucirse es complicado y cubrir el expediente una opción. La duda es la de las bodas, tengo tantos a la vista, en qué grado dejo de invitar, o dónde dejo de reproducir. En cualquier caso, y aunque quede por debajo del nivel general de la reproducción, es de "chapeau", y más por el precio de esta resina, que sí, que estará hecha en China, pero se puede encontrar en unos 80/90 Euros, y plásticos modernosos, también chinos, están en los 50 Euros, de PVR, que después cada uno es cada uno y cada uno con sus cadaunadas. Dos plásticos V. esta preciosidad...




Y en pista..., funciona, que ya es. Sin tocar, nada, absolutamente nada, la puse y quité de la pista. Con imán en mi pista no anda, es sencillo. Sin él digamos que funciona, se estanca e incluso desespera un poquito... ¿merece la pena llevarla al taller?. Personalmente creo que no, que lo mejor, es lo que hago, montar un pequeño circuito Carrera, sencillo, y disfrutar unas vueltas; lamentablemente con LMM unas veces van, otras sencillamente no; esta está en la media, es conducible pero malamente disfrutable.




Una preciosidad, imprescindible, a 1:32 y a 1:43, escala en la que la encontraremos, casi al mismo precio y a veces con un nivel de detalle superior..., en este caso..., siempre a la taquillera.




Salud